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PLENARIA 2000


 

ACCOMPAGNER LES ÉGLISES DU CONTINENT AFRICAIN

P. Pierre-Yves Pecqueux
Recteur du Grand Séminaire Saint Marc
Bangui-Bimbo, République Centrafricaine

 

Les priorités doivent être données à une promotion chrétienne de l’homme dans sa dignité de Fils de Dieu. Les problèmes ethniques, les situations de sous-humanité, le climat général de corruption et de violence rendent bien fragile l’ouverture à l’Absolu, laissant la place à l’immédiateté et aux divers fondamentalismes. De plus la reconnaissance d’une vocation qui donne l’idée vraie de la vie humaine se heurte à la méconnaissance même de cette notion, qu’il soit possible d’influer sur le sens de la vie, sauf chez quelques lettrés chrétiens.

La dégradation des situations politiques, sociales et familiales interdit pour beaucoup les processus de réflexion. La survie l’emporte sur tout projet et les paroles peuvent se multiplier, mais dans de nombreux cas, elles ont perdu tout sens.

Beaucoup d’Organismes Internationaux ne sont perçus que comme des lieux à rapport financier sans idéal ni philosophie humanitaire.

Un gros travail de conscientation des Organismes Internationaux est à faire sur leur raison d’être et leur rôle modélisant auprès des gouvernants et des populations. La relation aux pays et aux populations n’est pas simplement une affaire de projets et de budget. – L’Humanisme des Organismes Internationaux peut être essentiel et faire porter du fruit, le Conseil Pontifical pour la Culture dans des actions conjointes avec Justice et Paix pourrait favoriser un retour au sens premier et à la raison d’être des ces Institutions.

Faire des études dans l’honnêteté, donner sens au travail intellectuel, sont liés à la possibilité de trouver un travail réellement rémunéré et reconnu. La valeur des mouvements chrétiens auprès des scolaires et des étudiants est évidente, mais cela demande une formation solide, des aumôniers formés, des objectifs radicalement différents de ceux des organismes parallèles où per diem, voyages à l’étranger, honneurs du pouvoir en place, risquent souvent de l’emporter sur l’idéal même du mouvement.

L’Église doit continuer d’affirmer son humanisme et son éthique, mais dans les contextes propres des différents continents, elle doit s’obliger à avoir un langage pluriel. L’inculturation est aussi à ce prix. Pour le moment, l’inculturation africaine est souvent ressente comme vide de sens et habille maladroitement une soif d’ouverture sans donner corps à un contenu réel.

La dignité de l’Homme peut et doit être proclamée, chantée, dansée, écrite sur tous les modes, et il faut le faire, mais cela ne peut porter du fruit sans simplifier les moyens employés, sans chercher à agir aux divers niveaux de compréhensions des populations. La complexité de bon nombre de déclarations de L’Église limite la portée de celles-ci à des initiés.

L’illétrisme n’est pas seulement une fatalité, c’est aussi une façon de gouverner et de limiter les possibilités de conscientisation des populations.

Le mal-développement et la sous-humanisation éloignent toute possibilité de découverte des richesses de la Culture et des ouvertures que peuvent offrir une réflexion sur l’Humanisme Chrétien.

Ce très rapide regard sur la situation des populations locales de certains pays d’Afrique n’est pas une analyse pessimiste, il invite à un réalisme dans les propositions et à des actions très proches des populations, au risque de n’être qu’une assemblée de plus dans le concert des colloques internationaux.

Les actions en faveur de la culture doivent s’inscrire dans les moyens qui sont ceux des pays auxquels on désire s’adresser :

  • Radio-chrétiennes – possibilité d’émissions télévisées – cassettes de qualité qui ne soient pas de la propagande mais qui ouvrent à une reconnaissance des valeurs de la culture locale (c’est le prix d’une vraie inculturation qui puisse faire se rencontrer Évangile et Cultures locales) – Soutenir le développement des émetteurs nationaux ou inter-diocésains.

  • Revoir les types de publications, le vocabulaire employé et les objectifs poursuivis pour un réel respect des Églises locales et des cultures locales sont des impératifs qui donneront à L’Église sa dimension universelle dans une reconnaissance d’une expression plurielle. Il y a beaucoup à faire pour cela.

  • Encourager les productions de livres, pièces de théâtre, contes, chants, musiques, passe par l’ouverture à des moyens matériel et financier, par l’accueil de personnes compétentes du continent au sein des organismes romains ou des instances catholiques auprès de l’UNESCO.

  • Accompagner les Églises du Continent Africain par des actions favorisant la créativité et de mise en place la sauvegarde de la mémoire des cultures locales : enregistrements, bibliothèques, films, vidéo…

  • Donner aux Instituts Catholiques Africains et aux Centres Culturels des orientations et des moyens pour la formation d’animateurs et de formateurs qui participeront à la collecte de la mémoire et des traditions, qui aussi, en lien avec des chercheurs et des étudiants, participeront au travail d’inculturation.

  • La forme de transmission mise en place par le Vatican est le plus souvent à sens unique : de Rome vers le reste du monde. Vouloir favoriser et reconnaître des cultures plurielles. C’est permettre le brassage et la transmission depuis les Églises locales vers Rome, mais aussi dans des actions inter-Églises et inter-Continentales.

De l’Internet à l’alphabétisation, toutes les situations sont à prendre en compte. La Culture est déjà présente même si sa reconnaissance est ignorée et son rayonnement non favorisé. L’Universalité de L’Église peut se manifester dans sa qualité à accueillir la diversité des cultures, la diversité des formes d’expression, à vouloir la promotion de la pensée et des expression culturelles et artistiques des différents continents et courants culturels.

Le Conseil Pontifical pour la Culture peut ouvrir un réel chemin de rencontre et de promotion des cultures, mais c’est un chemin exigeant, qui demande un profond respect et un accueil sans souci de récupération ou de contrôle. La liberté de la pensée et de la production culturelle demande une confiance sans faille.


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EL HUMANISMO EN MÉXICO, ¿MITO O REALIDAD?

S.E.R. Mons. Rosendo Huesca Pacheco
Arzobispo de Puebla, México
Presidente de la Comisión Episcopal de Cultura

 

1.1 Corrientes de pensamiento, espiritualidad, organismos

a) Prácticamente todas las expresiones o manifestaciones culturales que podemos considerar como encarnaciones de verdadero humanismo, están permeadas por el pensamiento y la espiritualidad cristiano católica. En el campo de la religiosidad popular existen elementos de espiritualidad que propician o suponen la apertura al absoluto. y que provienen de las culturas indígenas, sobre todo en el campo de la religiosidad popular.

b) En los tres primeros siglos de la época virreinal de México se logró una base esencial para la fe, la lengua y las costumbres, y cierta homogeneidad. Muchos elementos culturales prehispánicos fueron bautizados e incorporados a la cultura novohispánica. Tenemos valiosas tradiciones educativas en nuestras familias con fondo cristiano y con valores humanos como la fidelidad, la unidad, la transmisión de la vida y la fe a los hijos, etc.

c) En el ambiente civil, existen diversos organismos e instituciones que promueven una idea verdadera de humanismo; algunas O.N.G. como centros de derechos humanos, de promoción femenina o juvenil, también para personas con problemas como Alcohólicos Anónimos, Procuraduría de la Defensa del Menor, la Federación de Escuelas Particulares, los grupos Pro-vida que son cada día más fuertes. Ya existen espacios en prensa, radio, televisión, semanarios católicos, como signo de las inquietudes que existen y que poco a poco pueden llevarnos a una mayor cristianización de la cultura.


1.2 Respuestas que señalan dificultades y condiciones adversas

a) Existen algunos grupos declaradamente gnósticos, de iniciación mistérica. Aún cuando afirman buscar la apertura a lo Absoluto y un verdadero humanismo, es necesario clarificar y medir las consecuencias de algunas ideas.

b) A partir de la Independencia, por el influjo de la masonería y del liberalismo, se produjeron guerras fratricidas, y con ellas, fragmentación y mayor heterogeneidad.

c) Otra circunstancia de suma importancia para el trabajo de la inculturación de la fe, es la emigración.

d) En estos días, so pretexto de promover los derechos humanos se otorgan privilegios a prostitutas, homosexuales, gente violenta, promotores del aborto, la inmoralidad y la antirreligiosidad o irreligiosidad.

e) Un problema actual es el vacío existencial, el no encontrarle sentido a la vida. La misma filosofía del cristianismo, reducidos a ideas y frases sin sustento consciente, han perdido su capacidad de convicción y de personal adhesión. Se prefiere esa enfermiza ambigüedad en la que cada quien cree lo que quiere y se inventa sus propios valores, ya que todos son igualmente verdaderos y falsos.


1.3 Iniciativas

a) Consideramos que es necesario promover iniciativas para una enseñanza no escolarizada. Especialmente la creación de centros abiertos a toda clase de personas que ofrezcan formación y pensamiento humanista.

Se promueven ya y se pueden promover mucho más a: la escuela católica, escuelas parroquiales, universidades con ideales cristianos, editoriales católicas, periódicos, boletines, etc. Formar escritores, artistas, comunicadores, políticos, líderes en general, con calidad profesional y cristiana.

b) Proponer todas aquellas corrientes que sensibilicen y lleven al encuentro del hombre con el hombre, a la caducidad y trascendencia del ser humano. Respeto a la vida humana y de ahí elevarse al Creador de la vida. La realidad de la vida despierte el aprecio y la solidaridad. Abiertamente hablar de Cristo, verdadero hombre y Dios.

c) No bastan palabras sabias; serán verdaderos humanismos en la medida en que sean capaces de crear y defender verdaderas relaciones humanas entre los hombres. Como decía Merleau-Ponty: "Una sociedad vale lo que vale en ella, las relaciones del hombre con el hombre." La gran cuestión, sin embargo, es cómo hacer esta filosofía, esta cosmovisión se convierta en vida para todos.

d) Una de las mayores necesidades, es la reorientación de las devociones populares llenándolas de contenido evangélico.

e) Es indispensable promover el diálogo y el encuentro con las diversas instancias del ámbito intelectual y cultural de la región.

f) La tarea de la iglesia es hacer ver que Cristo revela al hombre lo que el hombre es. Educar a la familia para ir descubriendo paulatinamente la trascendencia de lo humano. Denunciar en los medios de comunicación al mal, a la degradación de la dignidad humana.


2.1 Criterios, Medios

a) Un criterio fundamental: que se ofrezca una evangelización que no parta del supuesto de que todos los que se acercan a la Iglesia ya son cristianos, o cristianos catequizados. Que las catequesis recojan la antropología del Concilio Vaticano II (Gaudium et Spes). Urge una Catequesis Inculturada como lo pide este tiempo (Sto. Domingo, 254).

México es el único país del mundo civilizado que oficialmente ni se reconoce, ni están en las nóminas, capellanes del ejército, de las cárceles, de hospitales y de las escuelas. Existen y fungen por una tolerancia pero carecen de apoyo y de ascendencia eficaz. Las Universidades públicas o Estatales no tienen facultades de Teología católica o protestante, el estado laico, no estatal, es más bien laicista. Con dicha reforma, la Iglesia no recuperó ni un convento, ni una escuela, ni siquiera un curato. La reforma se configuró con la fuerte línea fiscal por lo pronto.

Las Universidades católicas, cuyos alumnos apenas llegan al 1% de la suma nacional, no se definen, porque sostienen Catedráticos a veces o muy malos o bastante indiferentes.

Salvo honrosas excepciones, el Episcopado parece no apoyar efectivamente a los agentes del humanismo y cultura católicos. Los dejan solos, marginados; parece que, por lo general, sólo existen en el membrete.

b) Medios de comunicación: Pese a que reconocen la libertad de expresión, prohiben a la Iglesia establecer televisiones y radiodifusoras, los sacerdotes mexicanos no tienen prohibición de escribir en los diarios, pero son pocos.

c) Los criterios: De solidaridad ya se dan en nuestra sociedad; es importante buscar una educación a tono con los tiempos y una mayor inserción de los Institutos. Religiosos en la vida del ser humano; los laicos para que vivan y trabajen en la realidad su propia Parroquia; aprovechar la religiosidad popular para Evangelizar.


2.2 Cómo promover

a) Crear y promover el Arte y la Música Sagrada a través de la creación de coros, grupos, escuelas, o a nivel superior crearlos o apoyarlos. Así tendremos una liturgia que con su riqueza de signos y de lenguaje apropiado.

b) Para valorar el arte y promover la creatividad. Valorar primeramente lo que ya tenemos; instrucción suficiente que vaya inspirándose en la fe y en la piedad; conferir su dignidad de ministerio a la actividad de la música sagrada, formar los líderes, el camino es iluminar con el Evangelio las iniciativas que ya existen en nuestra cultura.

c) A quienes tienen aptitudes artísticas, ofrecerles contenidos fundamentales de la fe y de la piedad, del arte y la música para estimular en ellos la creatividad, "concursos de la canción" cristiana, mariana, eclesial, la creación de espacios para la expresión del arte, etc.


2.3 Cómo presentar

Para promover el bien común, la solidaridad, el respeto a la persona… Se requiere difundir abundantemente la doctrina de la Iglesia al respecto. Conviene en este renglón no pasar por alto la pluralidad de las culturas. Ofrecer cursos en las universidades sobre la ética en sus perspectivas de civilidad en el pluralismo y la globalidad, para que los valores cristianos obtengan el lugar que les corresponde en nuestra cultura. Urge revisar seriamente la imagen o idea del hombre que se ofrece en los programas de estudios de los seminarios, enfocándolos más expresamente en la línea de los derechos humanos en toda su extensión y profundidad, individual, familiar y cívica. Cultivar el bien común y la solidaridad.


3.1 Valores Culturales

Rechazo de la injusticia, apertura al pluralismo, conciencia de la libertad y autodeterminación, valoración de la religiosidad popular y de las comunidades indígenas. Conciencia de los derechos humanos. Existencia de grupos de oración y espiritualidad. Aprecio por la familia.


3.2 Obstáculos

a) Los antivalores prioritarios de la cultura existencial sobre todo en las ciudades: poder, placer sensible y utilidad, de donde prioridad del tener sobre el ser.

b) La independencia nacida de un escepticismo o agnosticismo religioso.

c) Escasa frecuencia de la Iglesia institucional en el campo cultural.

d) El relativismo moral que favorece la vida Light, el hipererotismo y las adiciones.

e) La corrupción tanto en la administración pública como en la vida privada.

f) La persuasividad de los medio de comunicación Social, en especial la TV.

g) La falta de una participación católica más clara y entusiasta en foros públicos.


3.3 Formas de Diálogo

a) La preparación de los interlocutores católicos.

b) La formación de grupos por áreas especificas en forma de academias.

c) Clarificar la aportación del horizonte que ofrece el Evangelio a la realización integral de la persona humana.

d) La condición de "homo viator" peregrino que va de camino, se va haciendo y participando dei paisaje. Caminos a la trascendencia.

e) Aprovechar el arte religioso que es parte de nuestra historia, valorando la calidad dei arte sagrado.

f) Sumarse a los movimientos en favor de la paz, la justicia, los derechos humanos, el cuidado de las mayorías empobrecidas, todo esto nacido de una convicción del respeto a la dignidad de la persona humana.

g) Los foros, congresos, conferencias, etc. para evitar polémicas estériles.

h) Tener programas motivantes en medios de comunicación, v. gr. en televisión.

i) Propiciar y apoyar la pastoral universitaria tanto en universidades privadas como públicas.

m) Tocar temas de interés corno: familia, libertad, adiciones, política y civismo, la demografía, etc.

j) Estudio y difusión dei contenido de documentos pontificios y eclesiales con temas culturales (cfr. Fides et ratio).

k) Crear y favorecer el cultivo de artistas que logren expresar en símbolos de las culturas contemporáneas, los significados del mensaje evangélico.


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FORMATION AT THE UNIVERSITY

Bishop elect Péter Erdő
Rector from Pázmány Péter Catholic University
Budapest, Hungary

 

1. In reflecting on its role and responsibility, this Catholic University recognises the value of its commitment to the development of genuine humanism. By their example and sacrifice, its professors are an excellent model for young people. It is the only such institution in the country which includes in its programme the study of the social encyclicals. In this cultural dimension of its mission, the university’s publications can serve as an instrument for formation. It is proposed to launch several series of books of this type.

The country is still without a Catholic daily newspaper and national radio station (a proposal on the latter has been sent to the Hungarian Bishops’ Conference), although there are initiatives of this kind at a regional level. One very valuable contribution by the university is the formation of people who are able to work in the media (the university has a department which offers a degree in communications and media science).

2. The teaching and formation offered by the university are of great importance. There are also competitions to encourage students to carry out research in particular fields. Particularly significant is the role played by the department of philosophy, sociology and communication. In economics it is necessary to teach students that it is possible for them to be efficient and honest in their work. It is crucial to have more people capable of being a Christian presence in public life, people who can say with conviction "This is the truth", rather than a timid "I think it could be true that…". People, and particularly young people, still have to discover that one way they can reach God is through the material world, so it is essential to educate people in deciphering the sign-element in reality.

The students themselves are a way of reaching other people; their communities are an invitation to get to know the life of the Church. The university should accommodate ecclesial movements, without being identified with any of them. There must be ways in which homilies and catechesis could speak more effectively to students. One ought to promote familiarity with the various kinds of sacred music. It is important, in all circumstances, to be patient with non-believers, bearing in mind the difference between Catholic spirituality and specifically pastoral activity.

Sensitivity to solidarity and its practical consequences varies across the faculties. In general, throughout the country, people are well disposed and generous, but not very well organised.

3. Many people in Hungary look for contact with the Church these days. But one has to remember that, for obvious historical reasons, a whole generation grew up deprived of the possibility of knowing about the life of the Church, its liturgy, its terminology and so on. So it is urgent to put in place means of communicating with these people, in our case the young people of our country.

On the other hand, in the case of practising Catholic students, it is worth remembering that it is not enough to educate them for adulthood, but one must accompany them so that they will become adult Christians and intellectuals. So even with regard to professional formation, the university must do all it can to offer that little bit more than other institutions do.

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[Français]
Aussi dans ce numéro de la revue nous publions trois réponses parvenues au Questionnaire préparatoire de l’Assemblée Plénière du Conseil Pontifical de la Culture (p. 276-284) qui s’est déroulée du 18 au 20 novembre 1999. Afin d’offrir une gamme plus large de situations et de contextes des cinq continents, nous publierons dans les prochains numéros d’autres réponses. Tandis qu’une présentation de l’Assemblée Plénière, qui s’est récemment tenue, sera offerte dans le prochain numéro, le premier de l’An 2000.

[English]
This issue of the review contains three further responses to the questionnaire circulated in preparation for the Pontifical Council for Culture’s recent Plenary Assembly (p. 276-284), which was held from 18 to 20 November 1999. More will be published in coming issues, to offer readers wider coverage of the situation in every continent. Issue number 1 of the year 2000 will include a full presentation of the Plenary Assembly.

[Español]
Incluimos también en este número tres de las respuestas al Cuestionario Preparatorio para la Asamblea Plenaria del Consejo Pontificio de la Cultura (p. 276-284), celebrada del 18 al 20 de noviembre de 1999. Tratando de ofrecer un muestrario lo más amplio posible de situaciones y contextos culturales diversos en los cinco continentes, en números sucesivos irán apareciendo otras respuestas. El primer número del año 2000, en cambio, ofrecerá una presentación de la Asamblea Plenaria recientemente celebrada.


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